Relations publiques positives : le scoop

Vous avez une idée géniale pour un sujet, mais vous ne savez pas comment la faire connaître aux médias ? Vous en avez assez de diffuser des communiqués de presse que les médias ignorent tout simplement ?

Après vingt ans passés à arpenter les rues en tant que reporter télé, j’ai une info à vous communiquer : les médias ont besoin de bonnes histoires. Mais la plupart d’entre elles sont si mal présentées qu’elles se perdent dans le déluge de fax qui inonde toutes les salles de rédaction.

Voici donc cinq étapes pour augmenter vos chances d’être couvert, que même certains professionnels des relations publiques ne connaissent pas :

1) SOYEZ INHABITUEL

Le vieil adage selon lequel « l’homme mord le chien » est toujours d’actualité. Les médias ne parlent pas de ce qui est normal. Nous parlons de ce qui est anormal.

Carolyn Alvey, experte en relations publiques

le savait déjà lorsqu’elle a tenté de lever Plomb spécial des fonds pour une œuvre caritative il y a quelques années. Au lieu d’organiser un vide-grenier, elle a diffusé un communiqué de presse annonçant un « vide-grenier de célébrités ». Tout était à vendre, des vieux clubs de golf de Bob Hope aux cravates longtemps négligées de Roger Staubach. En rendant extraordinaire un vide-grenier ordinaire, les médias ont immédiatement été séduits par l’histoire.

2) SOYEZ VISUEL

Les journalistes racontent des histoires avec des images. Si les images ne sont pas là, il y a de fortes chances que les journalistes ne le soient pas non plus.

Plomb spécial

Même l’histoire la moins visuelle peut être rendue

visuelle si vous êtes créatif. Une entreprise de biscuits pour chiens ? Ennuyeux. Une fête d’anniversaire pour chiens avec des invités canins et des chapeaux de fête ? Vous êtes sur la bonne voie.

C’est ce qu’a fait Michelle Lamont სტრატეგია და არ იცავთ კონტენ pour booster sa boulangerie de biscuits pour chiens. Elle a commencé à préparer d’énormes gâteaux d’anniversaire en forme de biscuits pour chiens et à inviter les médias à couvrir les fêtes. Depuis, les journalistes la harcèlent pour obtenir des articles.

3) CHOISISSEZ LE BON JOURNALISTE

L’erreur la plus courante, même chez certains professionnels des relations publiques, est peut-être de vouloir vendre une bonne histoire à la anhui mobile phone number list mauvaise personne. La plupart des journalistes ont une spécialité, comme « crime » ou « économie ».

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